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La liberté des lentilles de contact journalières

Dernière mise à jour : 26 mars


Un homme heureux qui saute car il se sent libre de porter ses lentilles de contact journalières

L’été est bientôt là ! Qui dit « été », dit « lentilles de contact journalières » !

Mais pourquoi ?


Limiter les risques d’allergie et les risques infectieux

En été et au printemps, pour se reproduire, les plantes libèrent de grandes quantités de pollen. Le contact entre ces allergènes et nos yeux peut accroître notre sensibilité oculaire et provoquer de nombreux symptômes (larmoiement, irritation oculaire …). Pour toutes les personnes ayant des yeux sensibles, nous vous recommandons donc de porter des lentilles de contact journalières.


Celles-ci sont en effet plus sécuritaires que les lentilles à renouvellement moins fréquent car elles permettent de limiter l’accumulation des dépôts, bactéries et pollen jour après jour.


Découvrez notre article complet ici sur les allergies et les yeux...

Offrir plus de praticité

La praticité des lentilles de contact journalières peut aussi être mise en avant lors des voyages où il est préférable d’éviter de s’encombrer des étuis et des produits liés à l’entretien des lentilles de contact.


Offrir un meilleur confort

Vous avez sans doute remarqué, lors du port de vos lentilles de contact, que l’hydratation d'une lentille de contact diminue au fur et à mesure du temps de port. Elles sont donc parfois moins confortables en fin de journée. Pour les lentilles à renouvellement bimensuel et mensuel, cette perte d'hydratation se répète chaque jour durant des semaines ce qui peut accentuer les gênes et les signes de sècheresse oculaire. L'avantage des lentilles à renouvellement journalier est de vous permettre de bénéficier d'une hydratation optimale chaque jour grâce à la pose d'une nouvelle lentille.


Pour vous garantir un été confortable, Ophtalmic Compagnie vous recommande donc d’utiliser des lentilles de contact journalières.



Source :

« Point sur les lentilles jetables journalières » de Marie Delfour-Malecaze – Les cahiers d’ophtalmologie 2012.


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